À l’occasion de la Journée internationale des Droits des femmes, l’Orange Digital Center de Saint-Ouen a reçu des lycéennes, afin de les familiariser aux métiers du numérique.
Le numérique ce n’est pas que pour les garçons ! Pourtant, aujourd’hui encore, les femmes sont sous-représentées dans ce domaine. Rien qu'en Europe, seuls 18% des spécialistes des technologies de l’information et de la communication sont des femmes, selon le rapport DESI 2020. Chez Orange, la parité est un levier d’innovation sociale et technologique. En ce sens, l’entreprise s’engage en faveur de la mixité et mène des actions concrètes sur le terrain, afin de bâtir la société de demain.
À l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, une dizaine de jeunes filles venues du lycée de Choisy-le-Roi (Val-de-Marne), sont venues découvrir les métiers du numérique. Elles ont été sélectionnées en fonction de leurs résultats scolaires et de leur investissement associatif en faveur de l’égalité des genres. C’est avec curiosité qu’elles sont parties à la découverte d’un monde digital encore trop opaque.
Le numérique c’est pas sorcier
Pendant deux demi-journées, les 8 et 9 mars derniers, les lycéennes ont été introduites au B-A-BA du langage numérique. Durant l’atelier “le numérique c’est pas sorcier”, préparé par l’association Capital Filles, en partenariat avec Orange et Trace Academia, elles ont pu se familiariser au codage, aux langages de programmation, ou encore au “deep learning”. Durant cette heure d'échange, elles ont pu poser toutes les questions que soulèvent nos usages technologiques au quotidien. De la production de données, à leur diffusion via des ondes électromagnétiques captées par des câbles “pas plus grands qu’un cheveu”.
Une fois la théorie assimilée, direction le FabLab pour un cas pratique ! Sur place, elles ont pu découvrir l’une des utilisations concrètes du numérique en fabriquant elles-mêmes des porte-clefs grâce… à un ordinateur. Encadrées par les équipes d’Orange et de Capital Filles, elles ont ensuite récupérer leur création, une fois passées par la découpeuse laser. Un moment à la fois créatif et amusant et qui, on l’espère, aura inspiré des vocations.
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